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Qu’est ce que le ÇA, le SURMOI et le MOI ?

Comment fonctionne notre cerveau ?

Bonjour à Tous,

Je vous présente aujourd’hui, comment fonctionne notre cerveau, notre appareil psychique d’un point de vue de la forme avec « le CA », le « SURMOI », et le « MOI ».

D’un point de vue de la forme, notre cerveau contient :

– Inconscient – Pré-conscient – Conscient

+ 3 instances (après 1920) :

– CA – SURMOI – MOI

Le système du ÇA : pulsions primaires inconsientes cherchant à se réaliser. Pulsions soumises au seul principe de plaisir (satisfactions immédiates des besoins, des désirs). C’est à partir du « CA » que le « MOI » va se former. Le « ÇA » représente les passions déchaînées dans la vie psychique. Il est intemporel et n’évolue pas. Il est étranger à tout jugement de valeur, il est amoral et ne fait aucune distinction entre le bien et le mal.

Le système du SURMOI : instance qui s’oppose au « CA ». Instance morale, d’autorité, interdiction. L’idéal du « MOI » constitue le modèle auquel le « MOI » doit se conformer pour satisfaire les exigences parentales. Le « SURMOI » a une fonction correctrice et sélective qui lui permet de dire : « n’agit pas ainsi, n’agit pas comme ton père, ta mère ». C’est à l’image du Surmoi que l’image des parents se forme. Le SURMOI est un lieu d’idéalisation. Le système du MOI : conscient, il comporte une partie inconsciente (les mécanismes de défense), lieu de compromis entre les pressions du « ÇA », les exigences du « SURMOI » et les contraintes de la réalité. Ex : Si le MOI désobéit au SURMOI = culpabilité.

Le MOI traduit en action la volonté du ÇA. Le SURMOI plonge ses racines dans le CA. Le ÇA n’est relié au monde extérieur que par l’intermédiaire du MOI.

Quoi qu’on dise ou fasse, c’est toujours la résolution d’un conflit intérieur. Toutes conduites humaines trouvent leur origine dans le jeu des conflits intérieurs.

A bientôt,

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

Chaînes Youtube : Mathilde ESPEILLAC & KOKASS Music

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3 conduites à tenir face à l’opposition de l’enfant

Bonjour à Tous,

Je vous présente ici, 3 conduites à tenir face à l’opposition de l’enfant.

Entre 1 et 5 ans, les conduites d’opposition sont normales, nécessaires et inévitables.

Ces conduites (refus alimentaires, troubles du sommeil, refus d’être propre, et.) varient en fonction de l’âge, du sexe, du milieu socioculturel, du milieu familial et de l’environnement.

L’évolution des attitudes d’opposition dépend surtout du sens que les parents donnent au comportement de leur enfant et de fait de leurs réponses. Durant cette, l’enfant a besoin de l’opposition de ses parents pour se rassurer et se structurer.

Lorsqu’une crise s’avère difficile à supporter, trois attitudes, peuvent être envisagées pour éviter le conflit avec l’enfant :

1. soit interrompre le face-à-face en se soustrayant au regard de l’enfant après avoir mis des mots sur le comportement de l’enfant (tourner le dos, etc).

2. soit introduire un tiers pour amener l’enfant à comprendre et à accepter cette nouvelle consigne (l’autre parent, une peluche, etc.).

3. soit lui signifier qu’il peut se mettre en colère mais seulement dans un autre espace (sa chambre, etc.).

A chaque adulte ou parent de trouver la solution, ceci en fonction de sa personnalité, de son histoire et de sa relation privilégiée avec l’enfant.

C’est aussi une période difficile pour le couple parental entraînant des réajustements éducatifs nécessaires, car, souvent et normalement, le père et la mère ne sont pas toujours d’accord sur les conduites à tenir.

A bientôt,

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

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3 obstacles au changement et à l’action

I.P.P.

Bonjour à Tous,

Quels sont les obstacles au changement ? Quels sont les obstacles à l’action ? Quelle est cette résistance au changement ?

Les trois obstacles au changement : I.P.P.

1. Ignorance

2. Peur

3. Passivité

Comment dépasser les trois obstacles I.P.P. ?

1. Se renseigner abondamment sur le sujet mais ne pas dire que cela n’existe pas.

2. Peur de l’inconnu ? Avez-vous suffisamment confiance en vous, en la vie, en l’avenir pour changer de vie ?

3. Passer à l’acte et ne pas remettre sa décision au lendemain. Il y a toujours une bonne raison pour repousser nos actes ! »

A bientôt,

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

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La différence entre l’anxiété, la peur, l’angoisse et la phobie

Bonjour,

Je vous présente la différence entre l’anxiété, la peur, l’angoisse et la phobie.

La différence entre l’anxiété, la peur, l’angoisse et la phobie

L’ANXIETE : Sentiment de malaise ou de menace diffuse, engendrée par l’anticipation d’un risque mal identifié. L’anxiété se transmet dans l’éducation et trop d’anxiété devient une souffrance.

La PEUR : Emotion (thème développé dans une autre vidéo sur la chaîne) ; crainte en rapport avec une situation précise ou un objet (Ex : peur du noir, peur des animaux, etc). Il s’agit d’une prise de conscience d’un danger, réel ou imaginaire, que le sujet localise à l’extérieur et qu’il tente le plus souvent d’éviter.

L’ANGOISSE : Crainte « sans objet », un sentiment diffus, un malaise physique et psychique inexpliqué alors qu’aucune situation ne laisse présumer quelque chose et qu’aucun objet n’est identifiable (Ex : angoisse de séparation, etc).

La PHOBIE : Matérialisation de l’angoisse ; peur irrationnelle qui se fixe sur un objet particulier. En effet, à un certain moment, l’angoisse ne peut plus flotter et vient alors se fixer sur un objet (Ex : phobie des araignées, des avions, etc.). Une pensée obsédante vient à la place d’une pensée refoulée.

A bientôt

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

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Comment transformer nos objectifs en intention ?

Bonjour à Tous,

Je vous présente un EXERCICE : Transformer vos objectifs en intention ! inspiré des Accords Toltèques.

Choisissez l’un de vos objectifs, puis répondez aux questions suivantes. Exemple : « Je veux arrêter de fumer ».

1. Cherchez l’objectif de votre objectif, c’est-à-dire sa finalité. En quoi est-il important ? Qu’est ce qu’il vous apportera ? Quoi d’autre ? Et quoi d’autre encore ?

Exemple : C’est important pour ma santé et pour mon estime de moi. »

2. Quel genre de personne serez-vous devenu une fois votre objectif atteint?

Exemple : « Une personne libre et indépendante, davantage sûre d’elle ».

3. Transformez votre objectif en intention.

Exemple : « J’ai l’intention de devenir libre et indépendant(e), plus sûr(e) de moi, de prendre soin de ma santé, de m’aimer davantage et accessoirement d’arrêter de fumer. »

4. Qu’est-ce que cette dernière formulation change par rapport à celle de votre objectif de départ ?

Nous avons l’habitude de nous fixer des objectifs du type « faire »ou « avoir », comme par exemple « écrire un livre » ou « changer de voiture ».

Ce sont des objectifs quantitatifs, puisqu’il s’agit de faire ou d’avoir plus quelque chose. Pour dynamiser un objectif, on peut le transformer en objectif « être » : quelle personne voulez-vous devenir ?

Cela permet de porter sa conscience sur les enjeux, les motivations profondes et les finalités pour enfin déclarer son intention.

A bientôt,

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

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Qu’est ce que le cycle de la violence conjugale ?

Bonjour à tous,

Je vous présente :

1. Le processus évolutif du cycle de la violence conjugale.

2. Les types d’agression : violence psychologique, violence verbale, violence physique, violence économique, violence sexuelle

3. Les raisons qui maintiennent la victime sous l’emprise de leur partenaire violent ?

– L’espoir d’un changement

– La préservation de l’unité familiale

– La peur de se voir retirer les enfants

– Les pressions extérieures

– L’isolement

– La méconnaissances des lois

– Le manque de ressources économiques

– Les menaces, la peur des représailles

– L’état psychologique et physique

4. La violence conjugale se développe à travers des cycles dont l’intensité et la fréquence augmentent avec le temps :

1er temps : mise en place d’un scénario (escalade des tensions)

2ième temps : passage à l’acte / aux actes de violence

3ième temps : période de rémission (« lune de miel »)

4ième temps : retour aux actes de violence

5. Le processus du côté de la victime :

1er temps : « Je peux le faire changer » : non identification comme victime Conduite à tenir : Définir clairement le délit en nommant les faits. Informer sur les conséquences et recours (Loi/Droits)

2ième temps : « Je ne le changerai pas » : victime / objet Conduite à tenir : Confirmer les statuts de victime/agresseur. Rappeler les conséquences et recours.

3ième temps : « ça ne changera pas » : victime / sujet Conduite à tenir : Proposer des aide et encourager les démarches.

4ième temps : « Il ne changera pas » : sujet agissant. 6. Comment Intervenir ? – Accepter ses limites – Ne pas vouloir à tout prix convaincre – Ne pas culpabiliser

A bientôt

Mathilde

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Mathilde Espeillac,

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Outil pratique pour faciliter la gestion des comportements des enfants

Je vous présente un outil visuel pour faciliter la gestion des comportements agressifs des enfants (pour les enfants à partir de 3 ans).

Je vous invite à l’imprimer, le plastifier et l’afficher dans votre local à la vue des enfants. L’outil visuel en 4 étapes :

1. L’enfant commet un geste agressif

2. Le temps de réflexion : demander à l’enfant de se retirer quelques minutes, le temps que vous vous occupiez de la victime

3. Inviter l’enfant à faire un geste de réparation : s’excuser, flatter, apporter de doudou, apporter une débarbouillette, etc.

4. Retour sur la situation avec l’enfant : calmement, inviter l’enfant à trouver une alternative à ce qu’il vient de faire.

Par exemple, si l’enfant a frappé un autre ami pour lui enlever un jouet, que pourrait-il faire la prochaine fois pour éviter la reproduction du geste en question ?

Trouver avec l’enfant des solutions.

Puis familiariser les enfants avec l’outil : présenter l’outil aux enfants.

Expliquer chacune des étapes.

Vous pouvez aussi faire des mises en situation avec les enfants.

Par exemple, leur demander d’identifier ce qui arrivera s’ils frappent un ami ou s’ils lui disent des paroles blessantes.

Réviser avec eux chacune des étapes. Si vous avez des marionnettes, vous pourriez aussi créer des situations, des conflits entre deux marionnettes. Inviter les enfants à gérer le conflit entre les deux marionnettes en suivant chacune des étapes.

Pour les professionnels, collaborer avec les parents car les parents vivent peut-être le même problème à la maison.

Toujours informer les parents des interventions que vous faites avec les enfants. Vous pourriez leur remettre une copie de l’outil.

Quand les adultes travaillent dans le même sens, nous avons beaucoup plus de chances de réussite.

A bientôt

Mathilde

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

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Qu’est ce que la période d’opposition chez l’enfant ?

Je vous présente la période d’opposition entre 1 et 5 ans.

Entre 1 et 5 ans, les conduites d’opposition sont normales, nécessaires et inévitables. Ces conduites (refus alimentaires, troubles du sommeil, refus d’être propre, et.) varient en fonction de l’âge, du sexe, du milieu socioculturel, du milieu familial et de l’environnement.

Elle traduisent :

– le désir de l’enfant de structurer son identité et d’acquérir une autonomie physique et psychique

– un conflit interne entre le principe de plaisir et le principe de réalité, entre l’ensemble des pulsions archaïques (sexualité, désir de toute puissance, agressivité, etc.) et l’ensemble des exigences liées à la vie en société et sa propre morale interne.

Cependant les conduites d’opposition sont majeures entre 18 mois et 2 ans et demi environ, période au cours de laquelle l’enfant est très à l’aise sur le plan moteur (il bouge, lance, grimpe), est prêt pour la conquête de l’espace et de son autonomie physique, mais ne possède pas encore toutes les compétences nécessaires (langage, etc.) pour l’acquisition d’une autonomie complète.

De ce fait, durant cette période, l’enfant alterne des attitudes d’opposition, en rapport avec son désir de grandir, et des attitudes de régression (comportement difficile à table, rituels du coucher, etc.), marquant son ambivalence à rester un tout-petit.

Ce « NON » de l’enfant vient alors affirmer sa différence, des opinions propres, tout en interrogeant l’adulte sur sa place et sur ce qu’il est possible ou non de faire.

Dans la crise d’opposition, l’enfant commence à affirmer sa personnalité et il devient de plus en plus autonome. C’est l’apprentissage du permis et du défendu, du bien et du mal. L’adulte, soucieux de la sécurité de l’enfant, va multiplier les interdits.

Le « NON » devient alors le mot le plus utilisé : « Non, ne fais pas ça….non, ne touche pas à çà… », etc.

A son tour, il va utiliser le NON pour s’opposer à l’adulte, d’où le nom d’opposition. L’ENFANT se POSE en S’OPPOSANT.

Il est indispensable que l’enfant trouve en face de lui une personne faisant preuve de fermeté pour qu’il comprenne que, sur les points importants comme sa sécurité, ce n’est pas lui qui décide.

Une limite extérieure = limite intérieure pour l’enfant = sécurité

Il faut lui faire comprendre qu’il y a des limites à respecter et savoir si nécessaire, imposer son autorité en disant : « maintenant, ça suffit…! ».

Dans d’autre vidéos sur la chaîne, je vous présente et développe « 3 conduites à tenir face à l’opposition de l’enfant » et « Que-ce que l’autorité ? « .

Mathilde (KOKASS)

Mathilde Espeillac, conférencière-psychologue

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Comment fonctionne notre sommeil pour éviter la fatigue ?

Un bon sommeil est essentiel à une bonne santé.

Je vous présente comment fonctionne notre sommeil pour éviter la fatigue.

Imaginez les cycles du sommeil comme un train avec plusieurs wagons. On ne dort pas d’une traite, mais par « tranches ».

Le cycle démarre par l’endormissement (paupières lourdes, perte d’attention…). SI l’on néglige les signes qui l’annoncent ou si l’on rate cette étape, impossible de prendre le cycle en marche : il faut attendre le prochain.

L’envie de dormir s’estompe au bout d’une vingtaine de minutes. Il faut savoir qu’elle reviendra qu’au bout d’environ 50 minutes chez le nourrisson, 70 minutes chez l’enfant jusqu’à 3 ans, environ 90 minutes et 2 heures au-delà. C’est long ! Surtout dans le cas d’un petit qui a besoin de nombreuses heures de sommeil.

Le sommeil lent et le sommeil paradoxal alternent dans un cycle, en commençant par le sommeil lent, sauf chez le bébé jusqu’à 6/9 mois, où le cycle commence par le sommeil paradoxal. Jusqu’à 2 mois, ces deux stade sont appelés : « agité » et « calme ».

Le sommeil lent :

Il se décompose en sommeil léger et sommeil profond.

La phase de sommeil lent léger se situe juste après l’endormissement. Le dormeur se trouve dans un état de semi-conscience, où les bruits lui parviennent encore et où il reste sensible au contact. Mieux vaut donc s’abstenir de pénétrer dans sa chambre durant ce premier quart d’heure : cela risquerait de le réveiller…et donc de le faire descendre du train.

Suit la phase de sommeil lent profond. Là, tout contact avec l’environnement est interrompu. Le cerveau ne fonctionne plus qu’au ralenti ; les muscles se relâchent. Les enfants au sommeil lourd dorment si profondément qu’on peut aller et venir autour d’eux, et même les transporter sans qu’ils se réveillent. Durant cette phase peuvent survenir d’éventuels épisodes de somniloquie (parler en dormant) ou de somnambulisme (marcher en dormant). C’est aussi à ce stade que l’hormone de croissance entre en action, « fait grandir » et permet la régénération des cellules usées. L’utilisation de somnifères réduit la quantité et la qualité du sommeil lent profond (=sommeil récupérateur).

Le sommeil paradoxal :

Dernier wagon du train à partir de 6/9 mois, cette phase dure moins longtemps (15 à 20 minutes). Alors que le tonus musculaire est au plus bas, le cerveau redouble d’activité. Phénomènes contradictoires qui ont inspiré le terme « paradoxal ». C’est pendant le sommeil paradoxal que se produisent les rêves. Même les cauchemars ont leur utilité. Ils permettent d’évacuer les tensions. Le rêve favorise la maturation du cerveau et aide au développement de la mémoire. Le cerveau recharge ses batteries et organise les informations reçues dans la journée.

Dire qu’on retient mieux ses leçons si on les relit avant de se coucher n’est donc pas une légende. Il arrive même qu’on trouve une solution à un problème relationnel ou de maths ! La nuit porte conseil !

La phase de latence :

Les cycles s’enchaînent, mais entre chacun d’eux, se situe une courte période de latence : soit on se réveille car on a eu tout le sommeil nécessaire, soit on prend le train suivant. L’enfant peut alors s’éveiller en pleine nuit et connaître une attente de quelques minutes. S’il appelle, mieux vaut ne pas trop lui parler, car le prochain train ne tarde jamais beaucoup, et ce serait dommage qu’il le manque parce qu’on l’a stimulé.

Pour éviter la fatigue :

– Soyez attentif au signes de votre corps, aux signes d’endormissement

– Respecter votre rythme biologique

– Surveiller votre alimentation

Le sommeil est réparateur !

« Les rires et le sommeil sont les meilleures remèdes du monde ! ».

Mathilde (KOKASS)

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Arrêter nos suppositions et de projeter nos émotions sur les autres ?

Et si en fait la réalité était bien différente de ce que nous pensons ?

Ce qui nous fait souffrir, ce n’est pas la réalité, mais ce que nous croyons qu’elle devrait être. Et si en fait la réalité était bien différente de ce que nous pensons ?

Je vous présente un exercice « Est-ce vrai? » inspiré de l’approche The Work proposée par Byron Katie. Cette approche permet de remettre en question l’histoire que nous nous racontons (c’est-à-dire nos suppositions) et de nous affranchir des réactions émotionnelles qui nous limitent.

« Une pensée est inoffensive tant que nous ne la croyons pas. Ce ne sont pas nos pensées, mais l’attachement à nos pensées qui est la cause de la souffrance » Byron Katie.

Pensez à une situation qui provoque une émotion désagréable / négative. Exemple : « Je suis triste que ma belle-fille m’empêche de voir mes petits enfants ».

1. Posez-vous la question : Est-ce vrai ?

Exemple : « C’est vrai que je ne vois pas souvent mes petits enfant ».

2. Demandez-vous si vous pouvez être vraiment certain(e) que ce soit vrai.

Exemple : « Non, je ne peux pas vraiment savoir quelle est la raison exacte qui fait que je ne vois pas souvent mes petits-enfants : l’éloignement, leurs activités sportives, un rejet de ma belle-fille, ou même la décision de mon propre fils, ou autre chose encore… »

3. Analyser la manière dont vous réagissez quand vous croyez cette pensée.

Exemple : « Quand je crois que c’est à cause de ma belle-fille que je ne vois pas mes petits enfants, je suis dans le retentissement et j’ai tendance à ne pas être très sympathique envers elle ».

4. Demandez-vous qui vous seriez si vous étiez débarrassé(e) de cette pensée.

Exemple : « Je serais beaucoup proche d’elle et je la remercierais pour tout ce qu’elle fait de bien pour mon fils et mes petits-enfants ».

Mathilde (KOKASS)

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